Par maladresse, j’ai laissé partir un bref message, début d’un texte plus complet sur Rumiz et la Via Appia. Ne le prenez pas en considération.
En effet, Rumiz s’est avec son “Appia” cantonné pour une fois à l’Italie, cherchant à y retrouver les traces de la Via Appia qui allait de Rome à Brindisi.
Imaginez : un chemin direct (les romains allaient tout droit très souvent, sans se soucier des déclivités) qu’il faut retrouver dans l’enchevêtrement des nouvelles routes, asphaltées fréquemment, et des barrages ou propriétés de toutes sortes.
C’est cette aventure de plusieurs mois que Rumiz a décrit dans son livre “Appia”, et que je vais essayer d’évoquer pour vous en deux ou trois lettres, me servant de textes plus longs que j’avais jadis écrit pour l’Acorfi.
Mais il est maintenant trop tard pour commencer ce travail et je dois remettre à demain.
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