Goethe a fait ses études de droit à Strasbourg, et on peut encore y visiter la maison où il vécut.
Il y eût une idylle avec la fille du pasteur de Sessenheim, ville dont un musee, installé dans “L”Auberge au Boeuf” rappelle son passage.
Une fois devenu conseiller du Prince de Weimar, il accompagna celui-ci et l’armée des alliés qui fût défaite à Valmy. Je me promets de revenir sur ce dernier sujet.
Vouant une primauté absolue aux lettres allemandes, il connaissait pourtant bien le français, au point de traduire le “Mahomet” de Voltaire.
Il avait dit-on une grande admiration pour Napoléon, qui le reçut à Erfurt et au milieu d’une foule d’entretiens de travail avec ses proches, le décora de la Légion d’Honneur, sans savoir que Goethe venait d’échapper au sac de sa maison par l’armée française victorieuse.
Curieuse rencontre, de deux grands personnages aux antipodes de la culture et des passions. Napoléon faisait comme toujours plusieurs choses en même temps, et parlant à Goethe, cita plusieurs fois son “Werther” écrit 20 ans plus tôt.
Ces faits ont eu lieu bien après le voyage en Italie de Goethe, souvent cité par les Italiens.
Baci.
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