Ce matin j’ai eu un long entretien avec Christine Gadeyne, la femme de Francis, qui m’avait appelé.
Ils sont toujours à Roubaix, rue de la Potennerie. (je n’ai pas réussi à savoir ce qu’était une Potennerie au siècle passé, mais c’est bien d’avoir conservé ce beau nom). La rue de la Potennerie est celle qui fait face à ma maison natale de la rue Jules-Guesde. C’est sans doute rue Jules-Guesde que Christine a connu Francis, car ses parents étaient pâtissiers au coin de la rue des Parvenus, à trois maisons de ma maison natale.
Si ces noms me font rêver au passé, ils pourraient vous faire rêver pour leur pouvoir évocateur… Sur le même trottoir mais de l’autre côté, on trouve la Rue… Ma Campagne.
Christine travaille toujours chez Verspieren, le grand assureur roubaisien, elle est à 2 ans de la retraite.
Francis est retraité, atteint de diabète aigu. Il se fait lui-même ses piqûres journalières d’insuline.
L’année dernière ils nous avaient rendu une visite inopinée à leur retour de vacances. Cette année ils sont restés à Roubaix, et déplorant l’été pluvieux du Nord qui n’a pas favorisé les balades cyclistes.
Roubaix ne semble pas être un lieu de désert médical, Toutefois le médecin qui soigne le père de Christine – 84 ans – a le même âge…
Christine :

Francis :

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