La rue de l’Epidème aux pavés disloqués n’était pas la seule du genre à s’imposer à mes itinéraires maison/boulot. Quels autres ?
Celui que vous avez connu c’est la rue Charlemagne, maison natale de votre mère. Mais tout aussi mal pavée, nous pouvions compter la rue où habitaient mon frère et sa nombreuse famille. C’est certainement à cette dernière rue que j’attribuerai le titre peu envié de plus mauvais pavés de Roubaix.
Peut-être avions-nous à la même époque pour voiture la reine des mauvais pavés, la 2CV Citroen qui fût notre première voiture, et qui nous mena vaillamment jusqu’en Autriche et son Pötzenpass (19% de pente), qu’elle grimpa vaillamment.
Poster un Commentaire