Un autre fortifiant dont j’avais oublié de vous parler, c’est la quintonine.
Je lis que la quintonine était à base de quinquina, autrement-dit de quinine ; de drogue, en somme. Or, ma mère en consommait, et nous en faisait consommer régulièrement.
Je ne sais plus sous quelle forme elle était vendue, mais on en ajoutait une dose dans une bouteille de vin. De cette manière, elle devenait l’apéritif dominical, à la satisfaction de tous, car elle avait très bon goût.
Cela fonctionnait tout aussi bien avec un vin bon marché.
Je ne sais pas si nous avons continué de prendre de la quintonine durant la guerre, sans doute non.
J’aimerais retrouver le goût de l’apéritif à la quintonine. Hélas ! Cette dernière n’est plus fabriquée depuis 3 ans…
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