Parrain Paul avait un frère, Louis Delerue. Peut-être aussi une soeur, sans enfants. Mes souvenirs demeurent vagues sur ce point. Sans doute Solange s’en souviendra-t-elle mieux ?
De Louis Delerue, fervent patoisant, il me reste en mémoire une parole quasi historique dans la relation des souvenirs familiaux.
Une fois lu le journal quotidien (sans doute le Nord-Eclair) il avait coutume de se plaindre des hommes politiques, tous pourris comme il disait et répétait :
“Enne n’peut po les j’ter à l’flott, i sont tellement pourris, qu’i pourrirOtttent les pichons”. (Inflexion sur le O indispensable à la bonne compréhension).
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