Le second est à Majorque, et nous le prîmes à Palma au départ de la ligne, jusqu’à la fin, Soller.
Arrivés à Palma par avion, nous nous rendîmes à la place de la gare, je devrais dire des gares, car il y avait autant de gares que de lignes dans l’île, c’est-à-dire quatre je crois.
Après avoir fait le bon choix, nos connûmes un parcours tout-de-suite montagneux et accidenté, comme jamais encore rencontré.
On passait de vallée en vallée, de flanc de colline à sommet intermédiaire, de tunnel à viaduc et de nouveau tunnel, offrant chaque fois un nouveau paysage, une nouvelle vue. Parfois le train semblait grimper péniblement, d’autres fois on croyait revenir en arrière, tant le va-et-vient persistait jusqu’à atteindre le maximum, et puis le retour en descente jusqu’à joindre enfin Soller et le niveau de la mer.
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