Dans la relation que je vous ai faite hier, en évoquant Montgomery je vous ai cité Rommel. Cela me rappelle une présentation que j’ai jadis faite à l’Acorfi, dans laquelle j’évoquai l’odyssée précédente de Rommel durant la première guerre mondiale.
Alors chef d’un bataillon autonome sur le front italo-autrichien, il fit une percée profonde qui prît à revers l’armée italienne et provoqua sa déroute jusqu’aux portes de Venise, sur le fleuve Piave.
Un différend amusant, mais assez courant, éclata dans l’assemblée, les simples italophiles affirmant qu’il faut dire LA Piave, les italianisants tenant ferme sur IL Piave.

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