Je n’ai pas préparé un texte pour ce soir, car j’ai occupé mon temps à m’informer sur la vie de Jean-Jacques Rousseau à Venise, où il passa plus d’un an. C’est passionnant.
J’avais bien lu déjà les passages des “Confessions” sur ce séjour. Ma lecture d’aujourd’hui sur les Lettres qu’il envoya alors pourrait bien figurer dans une histoire de l’espionnage au 18° siècle, et ses pratiques demeurées actuelles.
Rousseau, alors simple attaché d’ambassade, était devenu expert en réseaux d’espionnage, chiffrage et déchiffrage des documents officiels, contrairement à l’ambassadeur, nommé là par favoritisme de noblesse.
Cette nouvelle lecture me fît découvrir l’histoire du “téton borgne de Zulieta”. Comment ce chef-d’œuvre de la littérature française avait-il pu alors m’échapper ?
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