Réveillé tôt, je m’apprête à vivre une journée tranquille. Mon téléphone sonne dans ma poche, je prends mon temps : sans doute Yannick décrit votre atterrissage à Madrid. Mais pas du tout : c’est Mathilde qui demande à venir plus tôt. D’ailleurs on sonne, elle est déjà là : elle a RDV à 11 H 30 au CHRO.
Durant la matinée écourtée je prépare ma commande au Drive, disposé à la passer juste après ma sieste.
Sieste interrompue par un appel de Gérard Staelen, de Corse. 5ème fois qu’il visite la Corse. A ma demande il me mène par la pensée au Cap Corse et ses villages escarpés. Bientôt il visitera la Touraine et me présentera sa compagne, la cinquième mais durable.
J’ai prévu de passer ma commande après la sieste avant le passage de Julie, toujours tardive surtout le vendredi après-midi, jour de marché à Olivet. Commande terminée je vais passer au paiement. Patratas on sonne. C’est Julie en avance, qui entreprend de me raconter l’absence de son conjoint, parti à Munich pour la fête de la bière. Je la coupe : on aura plus de temps demain.
Retour à l’ordinateur, ma commande s’est envolée, il faut la refaire, Un article est devenu indisponible. Moindre mal, car tout se passe bien cette fois.
Demain voir Antonio ; son estimation de mon fuel restant dans ma cuve ne correspond pas à la mienne.
L’après-midi j’aimerais assister à la messe du Pape à Marseille, mais priorité à Julie.
P.S. A la fête de la bière, je préfère celle du vin nouveau à Vienne. Plus discret encore, le Beaujolais nouveau à Milan.
Baci.
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